Auteurs : Daniel Fauvel - Hunert Hangard
Format : 17 x 24 cm
Nombre de pages : 142
Tirage : 75 ex
Prix : 20 euros
ISBN : 979-10-96714-759
Résumé du livre :
D’Anne Justine Caroline Fleuriot à Désirée Caroline Hamard
La mort de Louis Bouilhet en 1869 puis celle de sa mère en 1872 bouleversent Gustave Flaubert qui décide de faire vivre le souvenir de son ami et de gérer les affaires domestiques. À cette fin, « L’homme plume » se met en retrait et le célèbre écrivain se consacre à des tâches matérielles, intervient dans l’affaire de la sente Moïse, devient lieutenant de la garde nationale… La situation militaire et politique, la fin de l’indivision familiale le perturbent, l’obligent à prendre ses responsabilités. Pendant quatre ans, il essaie de se mettre à son compte. Mais les échecs se multiplient : il se fâche avec Lévy, son éditeur, avec la municipalité de Rouen, avec les Nogentais… À partir de 1875, il rend les armes et confie définitivement sa fortune à Ernest Commanville. Une sorte d’indivision se crée entre les Commanville et lui par le biais de différentes procurations. Il devient ainsi actionnaire de la scierie Commanville et Cie et caution d’Ernest Commanville. Ce qui le met dans l’obligation de vendre la ferme de Deauville. Il meurt ruiné, ayant dilapidé la fortune dont il a hérité de ses parents. Et pourtant, paradoxalement, il est toujours propriétaire de la ferme de Deauville et la faillite de Commanville n’a pas été prononcée.
Son frère Achille est riche. L’aîné a réussi. Sa mort, deux ans plus tard, sonne le glas de la saga familiale. La dynastie Flaubert s’éteint, faute de descendants du sexe masculin. Protégées par le régime dotal, les fortunes de Julie Roquigny et de Caroline Commanville ont été épargnées. Elles s’en serviront pour construire les villas Salammbô et Tanit, un hommage à leur oncle devenu célèbre.
En filigrane, derrière une certaine réalité, le lecteur découvrira l’envers du décor, la part d’ombre des secrets de famille révélés en partie par Caroline Hamard dans Heures d’autrefois et Souvenirs intimes.
La mort de Louis Bouilhet en 1869 puis celle de sa mère en 1872 bouleversent Gustave Flaubert qui décide de faire vivre le souvenir de son ami et de gérer les affaires domestiques. À cette fin, « L’homme plume » se met en retrait et le célèbre écrivain se consacre à des tâches matérielles, intervient dans l’affaire de la sente Moïse, devient lieutenant de la garde nationale… La situation militaire et politique, la fin de l’indivision familiale le perturbent, l’obligent à prendre ses responsabilités. Pendant quatre ans, il essaie de se mettre à son compte. Mais les échecs se multiplient : il se fâche avec Lévy, son éditeur, avec la municipalité de Rouen, avec les Nogentais… À partir de 1875, il rend les armes et confie définitivement sa fortune à Ernest Commanville. Une sorte d’indivision se crée entre les Commanville et lui par le biais de différentes procurations. Il devient ainsi actionnaire de la scierie Commanville et Cie et caution d’Ernest Commanville. Ce qui le met dans l’obligation de vendre la ferme de Deauville. Il meurt ruiné, ayant dilapidé la fortune dont il a hérité de ses parents. Et pourtant, paradoxalement, il est toujours propriétaire de la ferme de Deauville et la faillite de Commanville n’a pas été prononcée.
Son frère Achille est riche. L’aîné a réussi. Sa mort, deux ans plus tard, sonne le glas de la saga familiale. La dynastie Flaubert s’éteint, faute de descendants du sexe masculin. Protégées par le régime dotal, les fortunes de Julie Roquigny et de Caroline Commanville ont été épargnées. Elles s’en serviront pour construire les villas Salammbô et Tanit, un hommage à leur oncle devenu célèbre.
En filigrane, derrière une certaine réalité, le lecteur découvrira l’envers du décor, la part d’ombre des secrets de famille révélés en partie par Caroline Hamard dans Heures d’autrefois et Souvenirs intimes.
Pour commander : woozeditions@gmail.com