Auteur : Michel baldenweck
Format : 21 x 21 cm
Nombre de pages : 586
Tirage : 100 ex
Prix : 32 euros
ISBN : 979-10-96714-60-5
Résumé du livre :
Né d’un besoin et d’une envie de mieux connaître et comprendre cette période redoutable et glorieuse, l’auteur a voulu aborder et retracer l’histoire de la Libération de la France et celle de la Seine Inférieure en suivant Marc Bloch : « un mot pour tout dire domine et illumine nos études : comprendre ».
Il était nécessaire de mieux connaître les hommes, les faits, leurs interprétations aussi, qui n’ont jamais donné lieu à une histoire écrite dans le département de Seine Inférieure devenu Seine-Maritime. Après huit à dix ans de recherches et de lectures, nous nous rendons compte qu’il existe peu de textes, de citations ou de paragraphes concernant la Résistance en Seine Inférieure dans les ouvrages généraux sur la Résistance… ! Et pourtant cette résistance a existé, s’est battue, a obtenu des résultats, harcelé l’ennemi, aidé les Alliés dans la Libération de nos villes…
Le lyrisme de l’épopée, qui n’a pas été marqué que par les discours d’André Malraux pour l’entrée des cendres de Jean Moulin au Panthéon ou son discours aux Glières, a permis de cacher parfois l’absence d’engagements, la médiocrité des attitudes ou d’entendre des récits réinventés ou réécrits, un patriotisme tardif acheté parfois à bon compte.
Cette période fut le temps de l’équivoque et de la confusion, de l’abaissement, mais non sans objectifs pour les nazis qui gérèrent à leur profit la crainte, l’angoisse et la cruauté.
Le débarquement et la bataille de Normandie, enfin gagnée en juillet-août 1944, libèrent les énergies et les vocations pendant que la collaboration s’évanouit dans la retraite allemande.
On a souvent parlé de « l’armée des ombres » et ce vocable n’est que trop réel mais tous les témoins n’ont pas encore disparu. La sortie de la guerre, les huit élections qui suivirent, les luttes d’influence, le retour des déportés et des prisonniers de guerre, la recherche d’une vie normale furent aussi des événements considérables.
Il était nécessaire de mieux connaître les hommes, les faits, leurs interprétations aussi, qui n’ont jamais donné lieu à une histoire écrite dans le département de Seine Inférieure devenu Seine-Maritime. Après huit à dix ans de recherches et de lectures, nous nous rendons compte qu’il existe peu de textes, de citations ou de paragraphes concernant la Résistance en Seine Inférieure dans les ouvrages généraux sur la Résistance… ! Et pourtant cette résistance a existé, s’est battue, a obtenu des résultats, harcelé l’ennemi, aidé les Alliés dans la Libération de nos villes…
Le lyrisme de l’épopée, qui n’a pas été marqué que par les discours d’André Malraux pour l’entrée des cendres de Jean Moulin au Panthéon ou son discours aux Glières, a permis de cacher parfois l’absence d’engagements, la médiocrité des attitudes ou d’entendre des récits réinventés ou réécrits, un patriotisme tardif acheté parfois à bon compte.
Cette période fut le temps de l’équivoque et de la confusion, de l’abaissement, mais non sans objectifs pour les nazis qui gérèrent à leur profit la crainte, l’angoisse et la cruauté.
Le débarquement et la bataille de Normandie, enfin gagnée en juillet-août 1944, libèrent les énergies et les vocations pendant que la collaboration s’évanouit dans la retraite allemande.
On a souvent parlé de « l’armée des ombres » et ce vocable n’est que trop réel mais tous les témoins n’ont pas encore disparu. La sortie de la guerre, les huit élections qui suivirent, les luttes d’influence, le retour des déportés et des prisonniers de guerre, la recherche d’une vie normale furent aussi des événements considérables.
Pour commander : woozeditions@gmail.com